Les chansons françaises, on les chante tous en choeur...
Sunglow change de maison la semaine prochaine... Donc, le compte à rebours a commencé, et à cette heure-ci dans une semaine, je serais en plein milieu des cartons et autres valises empruntées à droite à gauche, en espérant que tout tienne dans le taxi magique que je pense utiliser...
Et le soleil est toujours radieux sur ma planète. Je suis heu-reu-se.
Vous en connaissez beaucoup, vous, des qui vous emmènent dans un coin paumé en B&B pour votre anniv, juste tous les deux au milieu du vert, des vaches et autres moutons, avec des gens qui parlent un langage étrange, voire celtique, que personne comprend sauf le plus amoureux des amoureux, personne étant la plus amoureuse des amoureuses ?...
Donc voilà. Et puis la rentrée c'est "bientôt", "plus que" deux semaines, eh oui.
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Et sinon, Winnie m'a suffisamment motivée pour que je fasse une plongée au pays du savon, boutique ô combien détestée pendant toute l'année (sur mon chemin, matin, midi et soir, et pas une seule entrée, mais des grimaces en passant devant...) - eh oui, nous parlons ici de LUSH ! Ze boutique qui pue. Bon - eh ben j'achèterai quelque chose, vu qu'avec ma cops on s'est promis de s'acheter quelque chose dès qu'on aurait trouvé un logement, et puis ben, le logement est trouvé dans mon cas...
Ah mais je vous raconte pas l'expédition... Les grimaces et autres pincements de nez plus ou moins discrets... Ils ont mis les shampoings solides au fond de la boutique, ces vaches ! On a dû traverser le no-man's-land lushien (pas un gars, que des filles ce jour-là) jusqu'au bout... Ce que nous fîmes, et nous découvrîmes sur notre chemin des ptits savons qui ont l'air sympas comme tout en fait. On tentera, et le résultat sera ici publié.
J'offre donc à Lush mes excuses pour les avoir snobés si longtemps, mais franchement, ça pue quand même la boutique, je maintiens. Ierk.
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Engagement Party d'un ami de mon Soleil samedi soir... Mmmmhmm... Moment d'intense solitude. Je connais personne, je ne connais que vaguement ses amis à lui, mais alors la famille du monsieur et la famille de la dame, et leurs amis... Ben pas du tout... Et puis les Irlandais qui regardent leur équipe chérie se faire laminer la guoule par je-sais-même-plus-qui (ce qui prouve l'intérêt que je portais à l'événement), ce n'est pas très causant...
A un moment, ô combien symbolique de la soirée, monsieur était avec son frangin hyper-concentré sur l'écran (on est dans un hôtel-pub - et nous savons toutes la tête que ces messieurs peuvent avoir dans ces moments d'intense concentration), et mademoiselle-bientôt-madame était assise un peu plus loin, entourée de ses copines, à montrer sa belle bague diamantée à qui mieux-mieux... :o) Ca m'a fait sourire... J'avoue... On n'y peut rien, hein ?
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J'arrête, paraît que je vais avoir des visiteurs, on va trop les gaver direct, hein...