Parc' que tes yeux sonnent comme un do dièse...
J'aime bien cette chanson.
Non, en fait, j'aime bien ce moment-là, précis de la chanson. Avec le dièse. Parc' que tes yeux sonnent comme un do dièse et que ça swingue quand le jour s'achève. Parc' que la terre est au-dessous du ciel, pas au-delà que ça nous plaise ou pas...
Bien travaillé Sunglow. Bien bien bien. Première partie finie. A relire, à rendre dans exactement deux heures et dix minutes. Mais contente, j'ai travaillé pendant pas mal de temps hier soir. Moi qui ai été vaccinée pendant la prépa de travailler de nuit, voilà que je me suis acoquinée avec la chouette. Mais ça me va. Silence dans la maison, la grande pièce pour moi. Taizé dans les oreilles (vous avez vu ??? Samedi soir, JT de TF1, un reportage sur Taizé ! Frère Aloïs ! Quelle joie... Les Français moyens vont grâce à TF1 connaître un peu ce charmant lieu.). Bref, travail, quoi.
Et là, miracle numéro 2, je suis devant mon William Seamus Acer à moi, à la BU, le froissement des pages que l'on tourne, le ronronnement de la photocopieuse, le bonheur. Tant qu'on ne m'agresse pas.
Agression. Tu as vu cette agression ? La prof se fait rouer de coups (belle expression bien française) par un élève et l'autre enregistre sur le portable... Une grave crise de l'autorité, mais surtout une grave crise humaine.
Pas de nouvelles d'Alphonsine. Je me dis que peut-être le vil personnage qui me l'a chouravée va me rendre tout de même les cahiers qui étaient dans l'étui. Tu sais, genre sympa. Je vais aller voir à la gare d'Austerlitz, on ne sais jamais. Je tiens à ces cahiers.
Les feuilles du figuier sont la plus parfaite image du renouveau qu'apporte le printemps. Pop ! Comme un petit bouchon de célébration. C'est beau.
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