Ahlàlà...
Chers tous.
Oui, c'est une lettre pour vous tous. Qui me lisez. Et si vous venez me lire, ce n'est généralement pas par hasard, parce qu'en fait, je ne fais ce blog que pour mes amis, et qu'il n'y a à peu près qu'eux qui le lisent. Tant mieux, d'ailleurs. Ca m'évite des pépins comme Fanfan a pu en expérimenter y'a pas si longtemps. Si tu viens de Google, bienvenue aussi.
Bref.
Chers tous.
Je viens de lire vos blogs, comme j'aime bien le faire, tout d'affilée, y'en a pas trente six mille, je n'aime pas trop lire la prose de personnes que je ne connais pas trop, excusez-m'en, je préfère dans ces cas-là lire les nouvelles du monde.
Je viens donc de lire vos blogs.
Et j'ai comme un goût amer dans la bouche.
Est-il possible, avec tout ce que vous vivez de grand, de beau, de magnifique, que vous soyiez si souvent au bord de la dépression la plus profonde ? Sincèrement ?
Faites-moi des posts pleins de vie, plein de vitalité, vous êtes jeunes, tous autant que vous en êtes !
(dixit ma grand-mère l'autre fois : "ah ben mais je vais faire ça plus tard. J'ai toute ma vie devant moi. Et si je n'ai pas le temps, c'est que j'ai eu les yeux plus gros que le ventre. Mais ça sera sans regret." en parlant de grimper le Mont Blanc.)
Donc vous êtes jeunes. Tous.
Me faites pas croire que vous ne savez pas rire. Sourire, dansez, dire des bêtises. Arrêtez de déprimer sur le net.
S'il vous plaît.
Ca entretient le cycle noir. Ouiouioui. Alors repensez à la désormais célèbre blague de Fanfan, et barissez un coup. Ca fait du bien de rire.
Allez, Shopgirl, t'inquiète, le foot, en soi, je suis d'accord, c'est pas passionant. Ce qui est passionant, ce sont ces yeux qui s'illumine devant l'écran, et cette fraternité qu'hélas, je n'ai pas beaucoup vu en d'autres occasions...
J'espère vous voir bientôt. En vrai. Vous me manquez. Votre joie de vivre, vos sourires, vos rires me manquent. On les croisent pas beaucoup sur le net.