Münich...

Beau film, bon réalisateur (Spielberg, tout de même !), bon shot.

Un film qui, comme La Liste de Schindler, revient sur la création de l'état d'Israël. Ceci n'étant pas une tribune politique - et comme c'est moi qui décide et que je n'ai pas envie de faire de ce blog une tribune politique comme sus-dit - je ne parlerai pas dudit état. Mais plus encore, au delà du fait que le 'héros' (si on décide de le nommer comme ça) belongs to Israel, something else strucks me : it is not a reflection about identities, i don't think so. I do think it's more a reflection about our possibilities, our being human, and where the frontier between human and animal exactly is. Are you an assassin if you kill someone who organized a massacre ? Can you live a normal life once 'it' is ended ? Can love repair everything ?

'We're not animals. We behave like animals because they forced us to do so'... Profond. Notre regard peut tout changer. Si on regarde un enfant comme s'il était stupide et bête, il le pensera, aussi, même inconsciemment, et il n'aura pas tellement confiance en lui. Mais si on lui accorde le bénéfice de l'amour, il y a de belles chances qu'il réussisse sa vie. Qui disait qu'éduquer, c'est aimer ? Et à quelqu'un qui lui disait que l'école était faite pour éduquer, pas pour aimer, il a répondu : "Nourris ton enfant. Habille-le. Eduque-le. Loge-le. Entretiens-le. Mais surtout, surtout, ne l'aime pas."...

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Autant pour maintenant. Je sens la friture - qui a oublié de préciser à ma colloc que les frites au four, c'est dix fois mieux que les frites à l'huile, dans un petit appart ?... Argh...

J'ai envie de danser, de chanter, de bouger, comme dans une fête... Quand j'étais au lycée, on se faisait des fiestas très régulièrement ! La prépa est passée là-dessus, mais la fac, c'est pire ! Je dansais beaucoup plus avec mes amis en prépa que je ne le fais à la fac ! C'est quoi que c'est ce délire ? Hein ?... Ah là là...